Pas vraiment. J’ai des gens avec qui je passe des moments. Puis la vie de l’un et de l’autre évolue. Depuis mes débuts, il y a Michel Gaubert. Je continue de lui demander de la musique quand je suis à court. Il y a aussi Julien Claessens qui m’a pris en photo quand j’étais étudiant. J’avais l’allure d’un elfe, il m’a fait poser dans la lingerie de sa copine. nike sportswear femme veste Cela fait vingt-cinq ans. Si j’ai un projet, je pense naturellement a lui.Je suis très Spotify. Avant j’avais besoin de Michel (Gaubert, ndlr) tout le temps. La musique était la condition pour que je me mette à dessiner. Si je n’avais pas le bon morceau, rien ne pouvait venir. Puis à l’époque de Rochas (en 2002), j’ai nike femme pas cher commencé à dessiner dans le silence. J’ai coupé la musique. Aujourd’hui, je peux dessiner en écoutant n’importe quoi.Quand j’ai commencé, on me qualifiait de gothique. En réalité, je ne l’étais pas du tout, le noir n’était pas mon obsession. Chez Rochas, je suis revenu au chic graphique du noir. Chez Nina Ricci (2006-2009), je m’en suis détaché. Puis chez Theory (2010-2015) j’y suis revenu avec le blanc et le nude, le trio de couleurs maison. Je suis très inspiré par les tissus. nike femme pas cher vetement Et souvent chez les fabricants on les découvre en noir. Du coup je les utilise tels quels. Cette couleur fait ressortir la matière.Je me méfie de la touche théâtrale de la couleur. J’ai tendance à ressentir la féminité. J’arrive à m’imprégner et à m’imaginer ce que cela peut être d’être une femme. Je perçois comment on peut se sentir dans un vêtement. La couleur est parfaite pour les tapis rouges et les magazines. Mais le noir pour moi est toujours plus chic, et souvent très beau. Mais je veste nike femme pas cher vais peut-être entrer dans une vague 100 % couleur...